Fêtons ensemble - Le temps des sucres

Pour la deuxième activité festive de notre projet de court métrage documentaire intergénérationnel Fêtons ensemble, nous avons souligné le temps des sucres à l'érablière le chemin du roy. 

Bob: Dans mon cas, à moi, la cabane à sucre me rappelle les souvenirs. Dans les fins des années 60, toutes les écoles où est-ce que que je suis allé, on y allait une fois par année, aux cabanes à sucre. Ça a été les dernières fois que je suis allé, c'est quand j'étais à l'école. Ça me rapporte des bons souvenirs.

André: Ça me rappelait mon enfance. On se réunissait dans le temps des fêtes en campagne.

Bob: On se passait des bols de soupe d'une main à l'autre, à l'autre, on se passait les plats de salade, n'importe quoi. On était dans une ambiance familiale. Entre-aide, respect et tout. C'était juste génial.

Suzanne A.: Les musiciens étaient capables de nous interpréter des chansons traditionnelles québécoises, dont à peu près tout le monde connaissait les paroles. 

André: Mais ce que j'ai aimé, c'est qu'il a fait participer les enfants aussi, les jeunes, avec des cuillères. Puis ils ont demandé de suivre le... Ça a été formidable ça, parce que les jeunes ont eu du plaisir.

Suzanne D.: Il ne faut pas abuser parce que ce n'est pas bon pour le cerveau. (rires) Quand on exagère trop, il faut se limiter.

Philibert: Je peux répondre à Suzanne, mais en fait, je trouve que ça fait du bien au cerveau de prendre du sucre parce que t'es content. Puis le cerveau aime ça quand t'es content. Ça fait que c'est bon le sucre.

Suzanne D.: Et à chaque printemps, il faut y aller. Manquez pas ça parce que les dîners là, c'est formidable. Tout est bon.

Alma: Dès qu'on te donne ton premier bâtonnet… qui coule, puis là, ensuite, ça te colle dans les cheveux. Tu peux plus t'arrêter. Tu dois en reprendre un, puis tu dois après, genre, en reprendre, puis en reprendre, parce que c'est quelque chose que tu peux plus arrêter tellement que c'est bon, puis c'est comme un pop sicle, mais en hiver, tu t'arrêtes pas, mais qu'à la fin, t'as mal au ventre, donc tu dois te résigner à partir.

C'est Felippe Martin qui nous accompagnait comme caméraman dans cette activité. 

Ce projet est rendu possible grâce au soutien de l'appel de projets culturels pour citoyens aînés de l'Entente de développement culturel de la Ville de Québec.